Optimiser son site web pour générer des leads : les meilleures pratiques

Chefs d’entreprise, votre site web est bien plus qu’une simple vitrine : il peut devenir un véritable levier de croissance en attirant les bons prospects, en captant leur attention et en les convertissant en clients. Quelles stratégies adopter pour maximiser votre taux de conversion ?

Améliorer l’expérience utilisateur (UX) pour convertir plus de visiteurs

Un site web bien conçu doit être intuitif, rapide et offrir une navigation fluide. Un internaute qui ne trouve pas rapidement ce qu’il cherche risque de quitter votre site sans laisser ses coordonnées.

Adaptez votre site au mobile : plus de 50% du trafic web provient des smartphones. Un site adapté à ce format est indispensable pour ne pas perdre de potentiels clients.

Simplifiez le parcours utilisateur : les informations importantes (formulaires, offres, boutons d’action) doivent être visibles et accessibles en quelques clics.

Créer des contenus engageants et à forte valeur ajoutée

Pour attirer et retenir vos prospects, misez sur du contenu pertinent et régulier. Des documents tels que des études de cas, ou des livres blancs permettant d’apporter des réponses aux problématiques de vos cibles.

Proposez du contenu téléchargeable : un guide gratuit en échange d’une adresse e-mail est un excellent moyen de générer des leads qualifiés.

Ajoutez des témoignages clients : rassurez vos visiteurs en mettant en avant les retours d’expérience de vos clients satisfaits.

Optimisez les formulaires de contact et les appels à l’action (CTA)

Un visiteur intéressé doit pouvoir vous contacter facilement et rapidement, un formulaire trop long ou un CTA mal placé peut le freiner.

Réduisez le nombre de champs obligatoires : un formulaire court augmente le taux de complétion.

Utilisez des CTA attractifs : privilégiez des boutons clairs et engageants comme « Recevoir mon devis gratuit » plutôt que « Envoyer ».

Exploitez-les (nouveaux) outils numériques

Tous les visiteurs ne se transforment pas immédiatement en clients, il est essentiel de les relancer intelligemment.

Automatisez vos emails : envoyez des séquences d’emails personnalisés après un téléchargement ou une demande d’information.

Améliorez votre référencement naturel (SEO) : Utilisez des outils comme Google Keyword Planner et choisissez des mots-clés stratégiques.

Formez-vous à l’IA : de nombreux outils gratuits sont à votre disposition et peuvent être très utiles, notamment pour la rédaction de votre contenu web et la conception de vos visuels.

En appliquant ces bonnes pratiques, vous accentuerez grandement les performances de votre site web. Un site optimisé ne se limite pas à son design : il capte l’attention, engage et convertit.

Entreprises, formez-vous à la commande publique !

Partenaire de la CPME, la mission French Tech lance avec OpenClassrooms « Je choisis la French Tech Académie » : une formation en ligne et gratuite, adaptée aux start-ups, de formation à la commande publique et d’aide à décrocher des contrats avec les acteurs publics.

Ouverte à toutes les start-ups, quelle que soit leur taille ou degré de maturité, la formation, d’une durée de 4 heures, cette formation vous permettra de :

  • plonger dans le monde de la commande publique
  • préparer une stratégie efficace pour se positionner habilement
  • décrocher et exécuter un contrat

Une question ? Ecrivez à l’adresse mail : je-choisis-la-french-tech.dge@finances.gouv.fr

Accéder à la formation : https://swll.to/mhKVCNo

Télécharger la plaquette d’information de la formation : https://swll.to/rTrYl

PME, quelles tendances Social Media 2025 intégrer à votre stratégie d’entreprise ?

En 2025, les réseaux sociaux continuent d’évoluer rapidement, offrant de nouvelles opportunités pour accroître la visibilité de votre PME et renforcer l’engagement de vos communautés. La CPME décrypte pour vous les nouvelles tendances à intégrer à votre stratégie digitale pour rester compétitifs dans cet environnement en constante mutation.

  • L’essor des vidéos courtes pour capter l’attention 

    Les trois premières secondes d’une vidéo sont déterminantes pour retenir l’attention de votre audience et inciter les internautes à visionner votre vidéo en entier : soyez créatifs ! 
     
  • Les hashtags en déclin 
    Les hashtags, autrefois essentiels, cèdent progressivement la place à une recherche par mots-clés. Privilégiez désormais des contenus visuels et descriptifs pour rester compétitifs.
     
  • L’IA au cœur de la création de contenu 

    L’intelligence artificielle vous permet de gagner du temps en automatisant et en personnalisant vos contenus sur les réseaux sociaux.
     
  • L’authenticité, nouveau levier incontournable

    ​​​​​​​Face à l’essor de l’IA, les internautes recherchent avant tout des contenus authentiques, auxquels ils pourront s’identifier. Pour renforcer l’engagement de vos communautés, pensez donc à adopter une communication qui reflète de manière fidèle les valeurs de votre entreprise.
     
  • Les employés comme ambassadeurs de votre marque 

    Encouragez vos employés à partager du contenu lié à votre entreprise, pour humaniser votre marque. Ils peuvent être de puissants ambassadeurs, et contribuerons à élargir votre visibilité.

Que faut-il attendre de la Commission européenne en 2025 ?

Le 12 février dernier, Ursula von der Leyen a présenté devant le Parlement européen à Strasbourg, le programme de travail de la Commission pour 2025. Très attendu, ce premier programme du mandat reflète les promesses faites par le nouveau collège des commissaires ces derniers mois.

Deux priorités ressortent du document : compétitivité et simplification. La présidente de l’exécutif européen entend alléger significativement les charges administratives des entreprises pour stimuler leur croissance économique et faciliter leurs transitions numérique et écologique.

Parmi les mesures présentées :

  • Simplification : au moins 35% de réduction des charges administratives des PME, publication de 3 paquets Omnibus sur la durabilité, sur les petites ETI et la numérisation, sur l’investissement ;  
  • Accès aux financements et investissements :  simplifier l’accès aux programmes Invest EU et aux fonds européens, finaliser l’Union de l’épargne et de l’investissement ;  
  • Innovation et croissance : Soutien aux start-ups/scale-ups, formation dans les secteurs innovants, création d’un 28ème régime juridique pour faciliter les transactions transfrontières ;  
  • Transition numérique et réduction de la bureaucratie : numérisation des procédures, création d’un « portefeuille européen des entreprises » facilitant les échanges de données ;
  • Compétitivité et décarbonation : publication des Actes sur l’industrie propre et sur la décarbonation de l’industrie

Pour en savoir plus, téléchargez la synthèse des mesures annoncées ci-dessous. 

Documents utiles : Commission Européenne – programme de travail 2025

La CPME tire un coup de semonce

Depuis maintenant plusieurs semaines, la CPME alerte, en vain, sur les inquiétudes mais également sur l’exaspération grandissante de ces chefs d’entreprise de TPE-PME qui se battent au quotidien pour faire vivre et développer leur entreprise en France.

C’est maintenant aux dirigeants de grandes entreprises de se faire entendre. Combien faudra-t-il de délocalisations, de disparitions d’entreprises et de chômeurs supplémentaires pour qu’on comprenne que l’alerte du monde patronal est sérieuse ?

Si les grandes entreprises et les TPE-PME sont différentes à bien des égards, elles contribuent à faire vivre le tissu économique français à travers les territoires. Les unes comme les autres sont confrontées à la même avalanche de normes et de lourdeurs administratives, à la même instabilité fiscale et règlementaire, à la même augmentation larvée du coût du travail. 

Le diagnostic est désormais connu. Le déficit public asphyxie chaque jour davantage le monde entrepreneurial. Et pourtant, la réforme de l’action publique est constamment repoussée. 

En 2025, les dépenses publiques vont continuer à augmenter et la pression fiscale sur les entreprises va, contrairement aux promesses, s’accentuer. 

Parallèlement, les textes encadrant les moindres faits et gestes des entreprises se multiplient. Alors que la nouvelle administration américaine annonce un plan de 500 milliards de dollars pour le déploiement de l’intelligence artificielle (IA), l’Europe adopte un « IA act » pour règlementer son utilisation et la France, jamais à la traine, imagine une « charte d’engagement pour une IA responsable et inclusive ». Tout est dit. Deux salles, deux ambiances. 

Il est temps que les décideurs politiques comprennent que leurs atermoiements sont suicidaires pour notre économie, pour les grandes comme pour les petites entreprises, et pour ceux qui les font vivre au quotidien. 

Il ne s’agit pas d’un appel au secours mais d’un coup de semonce.

Comment faciliter l’accès des PME aux financements européens ?  

 Le  15 janvier 2025, la Commission européenne et la Banque centrale européenne (BCE) ont publié leur enquête sur l’accès au financement des entreprises. Globalement, les résultats montrent que celles-ci ont bénéficié en 2024 de meilleures conditions de financement par rapport à l’année précédente, sans pour autant retrouver les niveaux atteints avant le Covid.

Réalisée auprès de 16 000 entreprises à travers l’UE (dont 92% de PME), l’enquête met en lumière les différentes problématiques freinant l’accès des PME aux financements européens et propose différentes solutions pour y remédier :

  • Simplifier les procédures de demande de financement pour les PME ;
  • Faciliter l’accès aux prêts bancaires en réduisant les exigences de garantie ou de sûreté et proposer des taux d’intérêt plus avantageux ;
  • Diversifier les sources de financement, notamment grâce à l’utilisation de fonds propres ou via un accès facilité au crédit commercial ;
  • Lutter contre les retards de paiement ;
  • Accompagner les PME dans les négociations avec les institutions financières ;
  • Soutenir la croissance des entreprises innovantes.

Toutefois, le rapport précise que ces solutions ne peuvent être uniformes et que, si elles veulent être efficaces, celles-ci doivent être adaptées aux spécificités de chaque PME. Seule une approche globale, alliant entrepreneurs, institutions financières et pouvoirs publics pourra permettre de répondre aux défis et contraintes freinant la croissance et la compétitivité des PME.

Rapport complet disponible

La nouvelle obligation de partage de la valeur

Podcast 🎙️

Entrée en vigueur le 1er janvier 2025 pour les entreprises de 11 à 49 salariés, cette nouvelle règle impose aux entrepreneurs de choisir parmi plusieurs options.

Qui est concerné ? Quelles sont les modalités de mise en place ? Quels sont les avantages et les inconvénients ? Toutes les réponses en moins de 10 mn par Eric Chevée, chef d’entreprise dans le commerce d’ameublement et vice-président de la CPME en charge des affaires sociales.

Ecoutez ce 8ème numéro de la série : « Focus PME : le podcast des experts de la CPME », qui propose des explications resserrées et pratiques d’experts de la CPME sur les sujets clés de l’actualité des entreprises.

https://swll.to/jwuSla

Les nouvelles exigences de la facturation électronique

Podcast 🎙️

🔎 Pour vous aider à mieux comprendre la réforme de la facturation électronique qui entrera en vigueur le 1er janvier 2026, et prendre les bonnes décisions, Benedicte Caron, dirigeante et vice-présidente en charge des Affaires économiques de la CPME vous guide sur les premières étapes à suivre pour réussir cette transition et limiter les risques.

👉 Il s’agit du huitième numéro de la série : « Focus PME : le podcast des experts de la CPME ». Cette série propose des explications resserrées et pratiques d’experts de la CPME sur les sujets clés de l’actualité des entreprises.

https://lnkd.in/eyWGgSUb

Réforme de la facturation électronique : comprendre et anticiper

La réforme de la facturation électronique entrera en vigueur le 1er janvier 2026. Elle s’accompagne d’une obligation de transmettre ses données de transactions et de paiement. Cette réforme impose des échéances à anticiper pour garantir une gestion fluide de vos factures.

À savoir : l’État a fait le choix de ne plus créer de portail public de facturation. Les entreprises devront donc obligatoirement utiliser des plateformes de dématérialisation partenaires immatriculées (PDP) pour gérer leurs flux de factures. Le choix de plateforme doit être anticipé mais il ne faut pas forcément se précipiter. En effet, si une liste des plateformes de dématérialisation partenaires sous réserve (PDP) a été publiée dans un souci de lisibilité, la levée des réserves n’interviendra qu’après les tests techniques et fonctionnels.

Pour vous aider à mieux comprendre cette réforme et prendre les bonnes décisions, écoutez le podcast de Bénédicte Caron, dirigeante et vice-présidente en charge des Affaires économiques de la CPME. Elle vous guide sur les premières étapes à suivre pour réussir cette transition et limiter les risques. Une fiche explicative est également disponible pour vous accompagner.

Retrouver le podcast des experts de la CPME : Les nouvelles exigences de la facturation électronique

Pour en savoir plus : notre fiche pratique